[Terminer] Une journée de travail à la forge PV [Sirona Rayn]

Clover, cette ville où j'avais étais blesser assez gravement à la dernière bataille que j'avais fais, je m'étais promis de ne jamais revenir, mais bon, la, c'était l'arrêt obligatoire, prenant un jour de congé, je m'étais rendu à cette ville à cause d'une rumeur, un forgeron qui ferait un dit "excellent" travail, quelque soit l'arme donner, ma faux ayant besoin d'être remis en état à cause d'utilisation assez forte, elle présenter des fissures dans l'obsidienne formant la lame, je ne pouvais pas la laisser se briser, cette faux est toute ma vie, avançant alors dans cette ville où personne ne me connaissais, et encore heureuse d'ailleurs.

Arrivant devant la forge, je pousse la porte entrant alors dans l'antre des armes, boucliers, armures, et je ne sais quoi encore, il y en avait tellement que je finis par ne pas m'y attarder, allant au comptoir, attendant le gérant, je posais ma faux sur le comptoir, regardant encore autour de moi, puis, un homme blond arriva par la suite, son bras de métal me fit poser des questions interne, mais ne disant rien avant de le voir a porter.

- Pas de question sur mon nom, j'aimerais juste que tu me répare ma faux, elle est faite en bois blanc et la lame en obsidienne pur, si elle se brise... Je vais rien dire pour le moment.

Fixant l'homme, avant de poser des minerais d'obsidienne pur, j'avais eu du mal à les avoirs, et j'espérais surtout que les rumeurs étaient vrai, car dans le cas contraire, j'aurais des envies de meurtre intense, je pense surtout à une soif de sang que l'on ne peu étancher.

Le voyant de retour, je pensais sur le coup qu'il était doué en ayant réparer si vite ma faux, mais au contraire, il n'avait rien fait, soit disant que ma faux n'était pas réparable, la reprenant ainsi que mon équipement, pestant alors, prête à l'attaquer pour le tuer rapidement, avant que ce stagiaire n'arrive, me retenant sur le coup à ma surprise de son arriver, proposant alors son aide, venant lui présenter ma faux quelque peu abîmer, il faut dire que des os sont assez dure, même pour quelque chose aussi tranchant que l'obsidienne, venant aussi lui mettre le matériel devant lui.

- j'ai besoin d'une vrai expertise pour la réparation de mon arme, puisque l'autre semble pas assez expérimenté pour occuper d'une tâche aussi simple.

Venant lancer un regard noir vers Gaël, lui montrant bien mon mécontentement à son expertise que je trouve médiocre, venant aussi poser une forte somme de jewels sur la table, montrant que je suis prête à payer le prix fort pour la réparation de ma faux, y tenant aussi fort que ma vie, si il arriver là moindre chose à ma faux, je perdrais peut être la tête.

Je regarde donc le stagiaire, croisant les bras, pour le moment mon humeur noir prenant petit à petit le dessus sur la raison, je n'aime pas apprendre, pas du tout même.

Voyant la situation de cette personne ayant prit ma faux, déjà la première chose de la prendre fit monter le sang à chaud, mais en plus qu'il parle de Mike ainsi... Le regard devant sombre, on pouvait presque voir cette aura noir autour de moi, une folie pur venant prendre place dans mon esprit, la même que j'avais eu quand j'avais tuer tout les enfants de l'orphelinat d'où je venais, venant aussi arborer un sourire des plus sadique à la chose, imaginant 1000 souffrance à lui faire payer, juste une chose en tête, le faire souffrir assez lentement et le tuer ensuite, de la façon la plus douloureuse possible et imaginable, voir même inimaginable, une sphère sombre venant dans ma main et faisant un rayon de ténèbres vers les jambes de cet insecte à mes yeux.

À peine l'attaque lancer que je me rue vers lui, cherchant directement les points vitaux de l'homme qui avait imploser ma rage, mon aura pesant pourrait peut-être affecter son esprit étant aussi mage de rang B, mais gardant l'information pour moi, ne voulant pas de fuite à la chose, enchaînant à faible puissance mes rayon ténébreux sur l'homme pour le toucher à de multiple endroit, espérant que l'autre forgeron penserait à agir comme il faut à la chose, cherchant aussi une dague aussi ou quelque chose de rapide du regard pour me servir d'arme.

Tournant encore autour un moment, je finis par prendre une rapière présente, venant croiser le fer, cherchant à le déstabilisé et surtout l'empêcher de fuir, manier ma faux relève d'un grand entraînement, le premier venue aura du mal avec, c'est évident.