Haut dans le ciel, le soleil iluminait les toits de ville. Une lumière puissante, magnifique, aveuglante. Une douce chaleur se faisait sentir sur mon visage. Un mois que j’avais accepté de rejoindre cette guide, les red je sais plus quoi. Oui je ne connais pas le nom de ma guilde. Quelle importance ? Ce n’est qu’un nom parmi tant d’autres. Un mois que j’ai été forcée de participer à cet horrible jeu. Il n’avait d’ailleurs d’horrible, à mes yeux, que le fait d’être forcée d’y participer. Un pas après l’autre, j’avance. Je n’ai pas vraiment de but et n’en ai jamais eut. Ce jeu, j’en revoyais les épreuves. J’avais failli transformer un homme en torche humaine et m’étais aperçue, sans vraiment m’en étonner, que je n’avait aucune honte et était prête à tuer sans le moindre remords. Devrais je en avoir ? Tuer, étais ce si mal que ça ? Un briquet en mains je m’amuse à créer des boules de feu est-ce réellement si mal ? La tête dans les nuages, mes pensées se tournent vers mon père et ma sœur. Où sont ils ? Je sais qu’ils ont été enlevés. Une guilde noire. J’en ai oublié le nom. En même temps je ne me souviens même pas du nom de ma guilde.
Slalomant entre les habitation, moitié marchant, moitié courant, je me dirigeais vers le bâtiment de guilde qu’elle idée d’y être entrée. En même temps, je me devais de développer mon don. Il fallait que j’y entre, que je retrouve mon père aussi. Du moins s’il était toujours en vie. En avais-je parlée à la chef ? Je ne le savais plus. Je m’acoudais au bar sans rien commander je n’avait rien gagné niveau argent. Sauf lors de cette mission. Un histoire de chat mettant la zizanie sur un marché. Je n’avait pas pu m’empêcher de rire en voyant le visage rouge des commerçants qui s’enervaient sur la bête. Bon elle n’était pas docile et eut quelques poils grillés en réponse à un coup de griffe. J’avais tout de même fini ma mission jusqu’au bout. Le chat dans les bras, bien que mécontent, j’avais finit ma mission. J’avais eut une petite somme, à présent presque détruite. Ce genre de choses passent si vite. Tout ça pour dire que j’avais pas de quoi m’offrir un verre plus un lit. Pour le coup, le lit me faisait envie. Je m’acoudais donc sans rien demander à côté d’un jeune blond qui s’était commandé une boisson.
Il m’avait semblé l’avoir vu aider une femme dont on avait volé le sac. Quel acte idiot. Comme pour me punir de ma pensée je revis le jeune homme m’aidant quelque mois auparavant. Quelques années pour être plus juste. J’allais me faire humiliée ‘je me souvenais de ses cheveux noirs d’encre. Moui, il était vrai que j’avais été heureuse qu’il m’aide. Du moins au fond de moi. J’observais le jeune blond en silence.