....Et de deux... Enfin, de trois mais je ne comptais pas le troisième. Et oui, je m’en fichais bien d’avoir prit une vie supplémentaire, après tout je ne vois pas ce qu’il avait de plus que vous et moi. Et comme chaque jour de cette semaine, je me réveillais dans une nouvelle auberge. Cette fois-ci, je me trouvais dans la ville de Malba. Apparement, cet endroit semblait plaire énormément aux touristes, la forêt Mikage en particulier. Pour une ville remplie de vie ainsi que gardé par des gardes comparé à Oak, ça allait se montrer... Oh non, je viens d’avoir justement une bonne idée, autant dans la pratique que dans le choix. Un léger ricanement sortit de ma bouche alors que je me levais pour aller me changer.
Ma prochaine victime allait être un homme portant une tenue , qui sortait d’un bar, à moitié ivre. Ayant prit soin d’éviter de me tacher les habits, je m’étais approché de lui pour lui faire éviter de tomber au sol. Néanmoins, ce ne fut pas le cas pour la bouteille qu’il avait à la main, qui éclata sur le sol en éclaboussant le sol du reste de bière qui y restait. Le type semblait en rogne en remarquant ce gâchis, grommelant bien des injures avant de me remarquer enfin.
-Qui êtes... vous? Vous êtes pas... Du coin, on dirait...
-Vous avez l’air d’avoir trop bu, mon brave. En effet, je suis de passage, je suis venu découvrir la célèbre forêt de Mikage dont tout le monde m’en parle.
-Encore un fou de la nature... Désolé mais je ne fais pas les visites... Ma tête... *dit il tout en laissant s’échapper un rôt*
-Je crois avoir ce qu’il vous faut. C’est un remède de ma très chère grand-mère, paix à son âme. *disais-je tout en le laissant se tenir debout pour fouiller dans mon sac et lui tendre une petite bouteille* -Tenez, cela devrait soulager vos maux.
-Je ne sais pas... Et puis, merde, si ça peut vraiment me soulager. *disait-il tout en prenant la bouteille, retirant le bouchon avant de boire le contenu comme si il n’avait pas bu depuis des jours* Aaaaah... Ça fait du... Qu’est... ce... q... *sombra-t-il peu à peu dans l’inconscience*
-Ne vous inquiétez pas, je vais vous ramener chez vous.
Et de trois...